
Impôts en Suisse – Comment votre canton de résidence influence votre fiscalité ?
Introduction
Soyons honnêtes : si vous vivez en Suisse depuis quelque temps, quelqu’un vous a sûrement déjà glissé cette phrase à l’oreille –
« Ce canton, c’est un enfer fiscal… Je pense sérieusement à déménager. Paraît qu’en Valais, les impôts sont bien plus bas ! »
Je me trompe ?
Moi, depuis que j’écris des articles sur la fiscalité suisse, je me suis souvent posé la question : Ont-ils raison ? Est-ce qu’il existe réellement des différences marquantes entre les cantons en matière d’impôt ? Et si oui, pourquoi ?
Peut-on vraiment déduire plus de choses dans le Valais qu’à Genève ? Les taux d’imposition sont-ils plus doux dans certains cantons ? Existe-t-il même des revenus exonérés ici… mais pas là ?
Bref, vous l’aurez compris : aujourd’hui, on fait le point sur toutes ces questions !
Et comme toujours : Si votre situation est particulière ou que vous ne trouvez pas toutes les réponses dans nos articles ou sur notre chaîne YouTube, n’hésitez pas à réserver un premier rendez-vous sans frais d’introduction.
Partie 1 – Les 3 lois qui encadrent les impôts dans tous les cantons
Avant d’entrer dans les comparaisons cantonales, mettons les choses au clair.
Même si, d’ici quelques minutes, vous découvrirez que la fiscalité suisse est plutôt simple à comprendre, je dois vous avouer quelque chose : Moi aussi, au début, je pensais que chaque canton pouvait faire à peu près ce qu’il voulait en matière d’impôt. Que tout pouvait changer du tout au tout entre Genève, Vaud, ou le Valais.
Et bien… c’est faux.
En réalité, trois lois fiscales encadrent l’ensemble du système fiscal suisse, et elles s’appliquent à tous les cantons. Ces règles constituent un socle commun, et c’est à partir de là que chaque canton peut exercer une certaine flexibilité — mais dans un cadre bien défini.
L’illustration à venir montrera à quoi ressemble, dans les grandes lignes, la structure de votre imposition, quel que soit le canton dans lequel vous résidez.
Important : Les règles que nous allons détailler ici concernent uniquement les résidents fiscaux suisses. Si vous êtes titulaire d’un permis B (ils sont résidents fiscaux suisses) ou si vous êtes frontalier, d’autres règles s’appliquent, que nous avons traité dans des articles séparés.

En Suisse, pour calculer votre charge fiscale totale, il faut additionner plusieurs éléments :
- Les impôts cantonaux sur le revenu et la fortune
- Les impôts communaux sur le revenu et sur la fortune
- Et enfin, les impôts fédéraux uniquement sur le revenu
C’est cette addition qui détermine ce que vous paierez réellement à la fin de l’année. Mais comment en est-on arrivé à cette organisation ? Voyons ensemble les bases légales qui expliquent ce système à trois niveaux.
La loi fédérale sur l’impôt fédéral direct (LFID)
Premier étage de notre système : la LIFD, ou Loi fédérale sur l’impôt fédéral direct.
C’est cette loi, établie par la Confédération, qui définit les revenus imposables et les déductions autorisées — peu importe dans quel canton vous résidez.
En clair : les règles de base sont les mêmes pour tout le monde. La LIFD ne crée aucune différence fiscale entre les cantons. Elle pose uniquement le cadre général : ce que l’État fédéral peut taxer, et sur quelle base.
La loi sur l’harmonisation des impôts direct (LHID)
Voici maintenant le deuxième niveau de notre système : la LHID, ou Loi sur l’harmonisation des impôts directs. Cette loi joue un rôle clé : elle indique aux cantons ce qu’ils doivent faire, ce qu’ils peuvent faire, et les limites à ne pas franchir. En d’autres termes, elle laisse de la marge, mais dans un cadre clair.
Exemple concret : La LIFD n’impose pas la fortune des contribuables, mais l’article 2 de la LHID impose que les cantons prélèvent un impôt sur la fortune des personnes physiques.
Cela signifie que :
- Tous les cantons doivent taxer la fortune, sans exception
- Mais ils sont libres de fixer leurs propres seuils, barèmes et taux d’imposition
C’est donc dans cette loi que l’on trouve la source de nombreuses différences cantonales.
Les lois fiscales cantonales
Dernier étage : les lois cantonales. Chaque canton, en se basant sur la LIFD et en respectant les contraintes de la LHID, rédige sa propre loi fiscale. Ces lois sont mises à jour régulièrement, et c’est elles qui définissent les taux d’imposition, la méthode de calcul de l’impôt, les barèmes, les déductions spécifiques et les abattements applicables localement.
Résultat : il existe autant de lois fiscales cantonales que de cantons suisses.
Chez FBKConseils, nous nous concentrons principalement sur les cantons suivants :
Les impôts en Suisse – une histoire de 3 lois… et 2 étapes
Maintenant que nous avons passé en revue les fondements légaux du système fiscal suisse, faisons un petit détour indispensable pour bien comprendre la suite.
En Suisse, le calcul de vos impôts se fait en deux étapes bien distinctes, et chacune de ces étapes peut entraîner d’importantes différences entre les cantons.

Pourquoi ? Parce que :
- Certains cantons appliquent des déductions fiscales généreuses, mais compensent avec des barèmes d’imposition plus élevés
- D’autres cantons, à l’inverse, limitent les déductions… mais offrent des taux d’imposition plus doux
À ce stade, vous vous demandez peut-être :
Est-ce que le canton du Valais combine à la fois des déductions avantageuses et des taux d’imposition attractifs ? Est-ce que c’est ça qui pousse autant de contribuables à envisager un déménagement ?
Wait and see. On vous explique tout dans les prochaines sections.
Étape 1 – Le calcul du revenu imposable
Dans un article précédent, nous avons déjà abordé le calcul du revenu imposable en Suisse, mais de manière assez générale.
Aujourd’hui, on va aller plus loin. Objectif : comprendre quelles déductions sont uniformes dans tout le pays, quelles peuvent être celles modifiées ou supprimées par les cantons, et quelles déductions sont complètement libres d’un canton à l’autre.
Pourquoi c’est important ? Parce que ce sont justement ces variations dans les déductions fiscales qui expliquent une bonne partie des écarts de charge fiscale entre Genève, Vaud, le Valais ou encore Fribourg.
Et comme j’ai toujours préféré les visuels aux longs discours, je vous ai préparé une infographie claire (je l’espère) et synthétique qui résume parfaitement les différentes catégories de déductions et leur marge d’adaptation cantonale :

Ce que l’on peut déjà tirer de l’analyse précédente, c’est que parmi les déductions les plus couramment utilisées par les contribuables suisses, il existe un quasi-équilibre entre :
- Celles qui sont fixes et uniformes dans toute la Suisse
- Et celles que les cantons peuvent adapter, renforcer… ou limiter à leur convenance
Mais la vraie question maintenant, c’est la suivante : Est-ce que ces variations cantonales sur les déductions sont réellement significatives ? Peuvent-elles, à elles seules, provoquer des écarts notables sur votre revenu imposable ? Autrement dit : au moment de remplir votre déclaration d’impôt, est-ce que votre canton de résidence peut réellement faire la différence ?
Spoiler alert : dans certains cas, oui. Et voici à quoi ressemble ces différences de manière chiffrée.

C’est ici que les choses commencent à devenir intéressantes. Selon votre situation personnelle, le canton dans lequel vous vivez peut avoir un impact réel et mesurable sur votre fiscalité.
Prenons un exemple concret : Dans les cantons de Vaud et du Valais, les frais de transport sont déductibles presque sans plafond. Résultat ? Pour certains de nos clients, cela représente plusieurs milliers de francs déductibles chaque année.
Et là, une vraie question se pose : Est-ce que ça vaut la peine de quitter les Eaux-Vives pour s’installer à Lutry ? Est-ce que le gain fiscal compense réellement le changement de cadre de vie ?
Ce genre de comparaison dépend de votre profil, de vos revenus, de vos trajets… et des règles de votre canton.
À ce stade, vous avez en main :
- Les bases légales du système fiscal suisse
- La logique du calcul du revenu imposable
- Et une idée claire de la marge de manœuvre que les cantons ont pour favoriser (ou pénaliser) certains contribuables via les déductions
Pour aller plus loin, voici nos articles détaillés sur les déductions cantonales :
- Les principales déductions dans le canton de Vaud
- Les principales déductions dans le canton de Genève
- Les principales déductions dans le canton du Valais
Maintenant que le revenu imposable est calculé, il est temps de passer à la deuxième étape de votre déclaration d’impôt : le calcul de la charge fiscale proprement dite. Et c’est là que les barèmes cantonaux et coefficients communaux entrent en jeu.
Partie 2 : Le calcul des impôts cantonaux
Maintenant que vous maîtrisez le revenu imposable, passons à la deuxième étape du calcul de l’impôt en Suisse : le barème et le taux appliqués à ce revenu.
Et comme je vous considère désormais presque comme des experts fiscaux, je vous invite à jeter un œil à la LHID (Loi sur l’harmonisation des impôts directs), et plus précisément à l’article 1, alinéa 3, intitulé « But et champ d’application ». Que nous dit cet alinéa 3 ?
Restent en particulier de la compétence des cantons la fixation des barèmes, celle des taux et celle des montants exonérés d’impôt.
Autrement dit : Chaque canton est entièrement libre de définir ses taux d’imposition, ses tranches, ses montants exonérés, et même la méthode de calcul appliquée. Et c’est là que tout se joue réellement.
Dans nos articles sur le calcul de l’impôt en Suisse romande, vous avez sûrement déjà vu que les écarts sont considérables d’un canton à l’autre. Comparer les barèmes ? Mission impossible. Il n’y a aucune uniformité, ni dans les taux, ni dans la structure.
Mais ce qu’on peut faire, c’est prendre un revenu imposable identique et observer ce qu’il donne dans les grandes villes de chaque canton.
Et c’est exactement ce que nous avons fait dans les exemples ci-dessous, pour l’année 2025.
Précision importante : En Suisse, la commune de résidence joue également un rôle important dans votre charge fiscale.
Dans nos simulations, nous avons pris les trois principales communes de chaque canton (par exemple : Lausanne, Genève, Sion) pour vous offrir une comparaison représentative.
Mais gardez bien en tête : Si vous habitez dans une petite commune ou un village, les taux peuvent être très différents. Parfois plus avantageux… parfois beaucoup moins, créant des différences au sein d’un même canton allant jusqu’à 4-5% de la charge fiscale totale.
Le calcul d’impôt en Suisse : quelles conclusions tirer ?
Dans notre comparaison des trois cantons romands (Vaud, Genève et Valais), une première chose saute aux yeux : Le canton de Vaud sort perdant dans presque tous les cas, que vous soyez marié ou célibataire, dès lors qu’on applique un revenu imposable identique.
Entre Genève et le Valais, le match est plus serré. Chacun présente ses atouts et ses faiblesses selon la situation du contribuable.
Alors, faut-il en conclure que le canton de Vaud est fiscalement défavorable ? Pas si vite…
Il est vrai que les barèmes vaudois sont plus élevés, et cela se ressent rapidement. Mais le canton de Vaud réserve aussi quelques surprises fiscales intéressantes, notamment :
- Le quotient familial, un mécanisme inspiré du système français, permet d’ajuster la charge fiscale selon la taille du ménage. Chaque enfant à charge vous donne une « part » supplémentaire, ce qui réduit le taux d’imposition global. Dans nos exemples, aucun contribuable n’avait d’enfant. Mais si nous avions ajouté 2 ou 3 enfants au foyer, le résultat fiscal aurait pu pencher en faveur du canton de Vaud.
- Enfin, le canton de Vaud propose des déductions sociales uniques, comme :
- La déduction sur les frais de logement
- La déduction pour contribuable modeste, accessible aux revenus les plus faibles
Autrement dit, le système fiscal vaudois pénalise certains profils, mais peut se révéler très avantageux pour d’autres.
Ce qu’il faut retenir
- Certaines déductions sont fixes et identiques partout
- D’autres dépendent entièrement du canton
- Le calcul de l’impôt et les barèmes varient énormément
- Et la commune de résidence peut encore ajouter une couche de complexité
Pour conclure ce chapitre, je vous propose maintenant d’utiliser mon propre cas comme exemple.
Nous allons créer trois déclarations d’impôt identiques, une pour Genève, une pour Vaud, et une pour le Valais, afin de :
- Observer la transition entre le calcul du revenu imposable (étape 1)
- Et celui de la charge fiscale finale (étape 2)
En somme, une démonstration simple, concrète, et surtout très révélatrice.
Exemple d’un résident Vaudois, Valaisan et Genevois en matière d’impôt annuel
Pour illustrer tout ce que nous avons vu jusqu’ici, je vous propose un exemple très concret.
Imaginons que je sois votre client. Vous êtes ma fiduciaire et je viens vous voir avec une question simple :
« J’ai une opportunité professionnelle en Suisse. On me propose un poste, et j’ai le choix entre trois cantons : Vaud, Valais ou Genève. Où paierai-je le moins d’impôt ? »
Voici mon profil :
- Nom : Noé LeConseiller
- Salaire net annuel : CHF 90’000
- Loyer annuel : CHF 18’000
- Distance domicile-travail : 40 km (aller simple)
- Assurance maladie annuelle (LAMal + complémentaire) : CHF 7’200
- Frais de formation (expert fiduciaire) : CHF 25’000
- Frais médicaux non remboursés : CHF 3’200
Objectif de la comparaison
Avec ces données, nous allons créer trois déclarations d’impôt simplifiées, une dans chaque canton, afin d’évaluer :
- Le revenu imposable après déductions
- La charge fiscale finale (impôts cantonaux, communaux et fédéraux inclus)
- Les écarts concrets entre les trois situations

Résultat des courses : quel canton vous fait payer le moins d’impôt ?
Sans grande surprise, le canton du Valais arrive en tête dans notre comparatif. Dans notre simulation, Noé LeConseiller paie près de CHF 4’000 de moins en impôt s’il réside en Valais plutôt qu’à Genève.
Un écart considérable… à situation identique !
Le canton de Vaud se hisse à la deuxième place, notamment grâce à une déduction généreuse des frais de transport— ce qui fait une vraie différence pour les grands voyageurs (pendulaires).
Quant à Genève, malgré son attrait certain reste en queue de peloton en matière de fiscalité individuelle. Les barèmes plus élevés et les déductions plus strictes dans cet exemple précis finissent par peser lourd dans la balance.
L’impôt sur la fortune en Suisse : les différences cantonales
Impossible de rédiger un article complet sur les impôts en Suisse sans évoquer l’impôt sur la fortune. Et croyez-moi, s’il avait été oublié, on ne me l’aurait pas pardonné… Même si, dans la grande majorité des cas, c’est bien l’impôt sur le revenu qui représente la part la plus lourde de la charge fiscale des ménages, il faut savoir qu’un impôt spécifique sur le patrimoine net existe bel et bien — au niveau cantonal et communal.
La loi fédérale (LIFD) ne prévoit pas ce type d’imposition, mais la loi sur l’harmonisation des impôts directs (LHID), elle, impose aux cantons de mettre en place leur propre barème et méthode de calcul. Chaque canton a donc la liberté de fixer ses taux et tranches, ce qui entraîne, là encore, des différences parfois importantes d’un bout à l’autre de la Suisse.
Le calcul de la fortune imposable est quant à lui assez homogène : il s’agit simplement de faire la somme de tous vos actifs (comptes bancaires, biens immobiliers, placements, etc.) et d’en soustraire l’ensemble de vos dettes. Le résultat, c’est votre fortune nette imposable, sur laquelle un taux sera appliqué. Certains cantons offrent des déductions forfaitaires en fonction de la composition du ménage (en 2024 Genève : célibataire CHF 86’833/ marié CHF 173’666; Valais : célibataire CHF 30’000 / marié CHF 60’000) alors que le canton de Vaud exempte les premiers CHF 58’000 pour les célibataires, et les premiers CHF 116’000 pour les couples mariés – l’impôt n’est calculé qu’une fois ces paliers dépassés.
En Suisse romande, les taux d’imposition sur la fortune varient en moyenne entre 0% et 0,8%. À fortune égale, cela peut représenter plusieurs centaines voire milliers de francs par an de différence selon votre canton. En Suisse alémanique, ces taux peuvent chuter fortement, rendant certains cantons bien plus attractifs pour les contribuables disposant d’un patrimoine conséquent.
Soyons honnêtes : dans la plupart des situations, l’impôt sur la fortune reste marginal par rapport à l’impôt sur le revenu. Il a souvent davantage une fonction de contrôle, permettant à l’administration fiscale de suivre ce qu’on appelle les « variations de fortune » d’une année sur l’autre. Mais passé un certain seuil de patrimoine, son impact devient bien réel — et il mérite d’être pleinement pris en compte dans toute simulation fiscale, que ce soit en vue d’un déménagement, d’un investissement ou d’une transmission de patrimoine.
Quelles conclusions tirer des différences d’impôt entre les cantons suisses ?
Après ces 2’000 mots de comparaisons, d’exemples et d’explications, on pourrait facilement conclure que le Valais est la terre promise de la fiscalité suisse. Et ce n’est pas faux : vivre en Valais, c’est souvent bénéficier d’un reste à vivre nettement plus confortable, à revenu égal.
Mais attention : ce n’est pas une règle universelle.
Dans de nombreux cas, c’est le canton de Genève qui l’emporte, haut la main — notamment pour les familles mariées avec enfants. Pourquoi ? Parce que Genève offre des déductions très avantageuses sur :
- Les frais de garde d’enfants
- Et même les primes d’assurance maladie
Deux postes de dépense rarement aussi bien traités dans d’autres cantons.
Ce qu’il faut vraiment retenir : Le meilleur canton fiscalement, c’est celui qui correspond à votre situation personnelle.
- Un même profil célibataire ou parent de trois enfants peut donner lieu à des résultats radicalement différents selon le canton.
- Votre commune de résidence joue aussi un rôle important dans le calcul final.
- Et bien sûr, certains cantons offrent des déductions très ciblées qui ne bénéficieront pas à tout le monde.
Notre seul vrai conseil ? Ne rien supposer. Ne partez pas avec des idées préconçues. Prenez le temps de simuler, comparer, comprendre. Faites les calculs. Car en Suisse comme ailleurs, l’impôt n’est pas une fatalité.
C’est une matière complexe, oui — mais accessible. Et bien maîtrisée, elle peut devenir un vrai levier d’optimisation.
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Objectif du rendez-vous :
- Répondre à vos premières questions
- Comprendre votre situation
- Et si besoin, vous expliquer comment nous pourrions vous accompagner dans vos projets financiers ou fiscaux
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Comme Noé dans notre exemple, vous avez peut-être :
- Une offre d’emploi dans un autre canton
- L’envie de quitter la ville pour une région plus avantageuse fiscalement
- Ou tout simplement la curiosité de mieux comprendre l’impact fiscal d’un changement de résidence
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